L'activité solaire devrait être très faible en 2030, mais cela ne devrait pas avoir d'impact notable sur le climat terrestre.
L'article utilise trois méthodes basées sur les statistiques et l'etude des champs magétiques pour modéliser le cycle solaire 24 (qui a commencé en 2009).
L'auteur explique que, si les variations d'activité solaire ont pu avoir des effets sur les paléo-climats, les conséquences du réchauffement climatiques compensent (très) largement cette baisse de régime. Le cycle solaire 23 (entre 1996 et 2009) a lui aussi été particulièrement faible, sans que cela n'ait de conséquences notables sur notre climat.
L'étude souligne en revanche que le "petit age glaciaire" du Moyen-Age pourrait bel et bien être la conséquence, pour partie, d'une faible activité solaire à cette époque.