L’urbanisation est-elle un générateur ou un destructeur de biodiversité ?
Introduction
Avec l’augmentation de la population depuis les années 50, il y a de plus en plus d’interaction entre l’homme et l’environnement. En effet, avec l’avènement de l’agriculture, l’homme a commencé à modifier les paysages et affecter l’atmosphère. Par exemple, la déforestation est la cause de 12 à 20% des émissions mondiales de gaz à effet de serre, entraînant les dérèglements que l’on connaît aujourd’hui. Il y a 4 siècles, 66% des terres étaient recouvertes de forêts, contre 31% aujourd’hui. Cette déforestation a pour but premier d’élargir les exploitations agricoles mais aussi d'agrandir les espaces urbains. De nombreux facteurs historiques, politiques et socioculturels peuvent expliquer l'urbanisation croissante (le développement d'une société tournée vers l'industrie par exemple). L'urbanisation entraine de nombreuses conséquences tant positives que négatives dans le domaine socio-économique, culturel, environnemental et culturel. Le développement des villes a donc un impact sur la biodiversité, c'est à dire sur la diversité des espèces vivantes et leur richesse. L'enjeux principal est de comprendre comment continuer à répondre à la démographie croissante, tout en conservant le mieux possible les propriétés des écosystème. Pour cela il faut d'abord savoir si l'urbanisation a un effet négatif ou positif sur la nature et donc sur la biodiversité.
Cadre concret
L'urbanisation est un phénomène qui concerne le monde entier, il est donc important de se placer à cette échelle pour comprendre l'ampleur de la chose et avoir une vu d'ensemble de son impact sur les écosystèmes. Les articles qui étudient ce phénomène sont nombreux et datent de plusieurs années, de plus les chercheurs continuent d'évaluer encore aujourd'hui les impacts sur la faune et la flore afin d'obtenir des résultats sur une grande échelle temporelle.
Cadre conceptuel
Il s'agit là de savoir et comprendre le comportement des espèces vivantes vis à vis de l'urbanisation. Vont-elles avoir tendance à disparaitre ? ou à s'adapter et résister ?