Une consommation modérée de vin est associée à un facteur de risque hémostatique et inflammatoire plus faible sur une période de 8ans: une étude des femmes dans tous les USA.
Les consommatrices modérées de vin avaient des niveaux significativement plus faibles de la protéine C-réactive (CRP, p<0.001), de fibrinogène (p<0.001), du facteur VII (p<0.01) et de l'inhibiteur de l'activateur du plasminogène (PAI-1, p<0.05) que les femmes qui ne buvaient pas du tout ou très peu de vin. Or toutes ces molécules sont liées à l'inflammation et la coagulation. Les auteurs suggèrent donc que le vin a des effets protecteurs contre les maladies cardiovasculaires en influant sur les mécanismes de la coagulation et de l'inflammation.
Les auteurs suggèrent que le vin a des effets protecteurs contre les maladies cardiovasculaires chez les femmes en influant sur les mécanismes de la coagulation et de l'inflammation.