Titre de l'article :

La sixième crise de coextinction massive : Les espèces parasites et mutualistes sont-elle davantage en danger ?


Introduction à l'article :

Les relations mutualistes et parasitiques sont d'une grande importance dans les cas actuels d'extinction, la disparition d'une espèce engendrant celle de l'espèce dépendant de la première.
L'étude de ces relations est une méthode peu utilisée. Nous sommes cependant dans la nécessité de connaitre et de comprendre l’occurrence et les conséquences des coextinctions sur la biodiversité; notamment dans la mesure ou les modèles montrent que le taux de coextinction va augmenter dans un futur proche. Pour exemple, 200 000 herbivores sont menacés d'extinction par celle des plantes qu'ils consomment.

Expériences de l'article :

Cette article synthétise les précédent travaux ayant été effectués sur :
1) La mesure de l'impact de la spécialisation des interaction sur le risque d'extinction pour les espèces hôtes
2) La dynamique des populations liée aux relations parasitiques et mutualistes
3) Les chaines d'extinction et les cascades trophiques

Résultats de l'article :

1) Plus la spécialisation est forte, plus le risque est élevé pour le parasite ou le partenaire mutualiste.
2) Les anciens modèles montraient que les populations de parasites et mutualistes disparaîtrait en même temps que leur hôtes. Cependant, de plus récent modèles montres que leur extinction sera plus précoce que celle de les hôtes.
3) La coextinction est la plus courante des extinctions : les réseau trophiques sont complexes et se type d'analyse fait apparaître que les parasites et partenaires mutualistes sont en général plus résistant que ceux n'ayant pas de relations inter-spécifiques aussi spécialisées.

Les causes de ces coextinctions sont expliquées comme étant principalement la perte et la dégradation des habitats ainsi que le changement climatique.

Nous somme ainsi dans la nécessité de connaitre les interactions pour anticiper les risques de chaines d'extinctions.

Rigueur de l'article :

Aucune donnée chiffrée

Ce que cet article apporte au débat :

Une extinction de masse est admise par les auteur, elle est dépendante en grande partie des relation parasitiques et mutualistes qui conditionne les réseaux trophiques.

Publiée il y a plus de 8 ans par Artémis A..
Dernière modification il y a plus de 8 ans.