Dans le grand règne des invertébrés, les espèces étudiées, et protégées si nécessaire, sont très principalement les plus charismatiques.
Les invertébrés restent en effet majoritairement sous-évalués.
Les auteurs proposent une méthode alternative pour que certaines espèces peu connues accèdent aux statuts de conservation.

Pour 200 espèces d'escargots terrestres, les auteurs ont réalisé la compilation d'informations depuis la littérature, les collections des muséums, et les consultatiosn de spécialistes.

84,5% devraient être "Data Deficient" dans les données de l'IUCN.
10% des espèces échantillonnées en museéum sont éteintes.
45% non menacées, 3,5 % menacées, 41% imposibles d'accès.
Les techniques d'évaluation actuelles ne suffisent pas pour caractériser l'état de ce type de lignées.
Ceci nécessite la création d'un nouveau modèle pour évaluer l'ampleur de la crise d'inxtinction

Les données utilisées (200 espèces d'une lignée de Gateropodes uniquement) sont restreintes d'un point de vue taxonomique.

Les données de l'IUCN ne prennent pas suffisamment en compte l'état des populations d'invertébrés pour estimer les statuts de conservation et les pertes de biodiversité actuelles.
Ceci est à prendre en compte dans les études de perte globale de diversité.