L’extermination d’espèces “nuisibles”: bon ou mauvais pour l’équilibre des écosystèmes insulaires ?
Introduction
Contexte général – Enjeux contemporains – Définitions des termes employés – Sous questions initiales
Les milieux insulaires
Échelle à laquelle se place la question et/ou délimitation spatiale – Délimitation temporelle
Les milieux insulaires ne représentent que 5.3% des terres émergées (UNEP-WCMC, 2015) et pourtant ils habritent 30% de la biodiversité du globe (Gerlach., 2008).
Ce sont de formidables indicateurs des impacts du changement climatique et des espèces invasives. En effet, la perte de biodiversité, voire les extinctions, sont des phénomènes courants et rapides dans les milieux insulaires et les causes principales sont les espèces invasives (Spatz et al., 2017).
Les espèces "nuisibles"
Les espèces responsables d'impact négatifs sur ces écosystèmes sont majoritairement de petits mammifères (rats, cochons, chats, lapins, chèvres et quelques autres) (Spatz et al., 2017 ; Courchamp et al., 2003).
Cadre conceptuel
Hypothèses éventuelles – Méthodologies – Théories et concepts clés
Il est important de préserver ces écosytèmes insulaires. On sait que dans 76% des îles envahies par des vertébrés, la gestion de ces invasifs est bénéfique pour 39% des espèces menacées (Spatz et al., 2017). .