L'élevage traditionnel une solution pour diminuer les impacts liés aux activités humaines sur la biodiversité européen.
L’élevage ne peut subsister sans l’apport de matière et de service provenant de la nature tel que l’apport de ressources, la résorption des déchets et les processus écologiques. Elle sera durable lors ce qu’elle ne compromettra pas ces services. Dans cette revue l’auteur émet l’hypothèse que l’élevage traditionnel permet de remplacer des processus naturel qui sont supprimé par l’anthropisation et contribue au maintien de la biodiversité associé aux prairies ouvertes. La perte des fonctions écologique liées aux grands herbivores (tel que l’ouverture des milieux forestiers, la création de prairie ouverte, la dispersion de graines) est partiellement compensé par le pâturage du bétail. Une co-évolution entre les herbivores et les plantes fait que le broutage s’avère généralement bénéfique pour ces dernières (figure1). Le pâturage permettrait aussi la survie d’espèces dépendante de certaines perturbations naturelles, tel que les orages, les feux de forêts et les inondations qui ouvrent le milieu. En termes de conservation, il faudrait faire une combinaison de long période de pâturage ponctué événements stochastiques (variation des pressions de broutages, rotations d’animaux sur plusieurs espaces).
L’élevage traditionnel avec pâturage peut dans une certaine mesure contribuer au maintien de la biodiversité.
L'élevage traditionnel maintien des processus écologiques naturels liés aux herbivores et aux perturbations ponctuelles (ex : feu de forêt)
L’élevage traditionnel avec pâturage peut dans une certaine mesure contribuer au maintien de la biodiversité.
Livestock grazing (without modern fertilizers), mowing, and other traditional methods of animal husbandry are used in Europe for managing human-made habitats such as seminatural grasslands. From a review of essential literature, I hypothesize that traditional animal husbandry partially compensates for the loss of natural processes that have been suppressed by humans. There is indirect evidence that livestock grazing and mowing have made possible the continued existence of many species threatened by the human overkill of megaherbivores and other large herbivores. Many species that were dependent on natural fires and floods may have benefited from grazing and mowing, which also may be effective tools for mitigating the negative effects of eutrophication. As partial surrogates, traditional grazing and mowing have obscured the importance of natural disturbances to European biodiversity. Thus, the end of traditional animal husbandry, together with the suppression of natural disturbances, may cause even more adverse effects to biodiversity than is generally recognized.