Un cadre pour analyser les impacts non souhaités de la fertilisation des océans

La communauté scientifique a l'obligation d'évaluer les conséquences des options stratégiques pour la réduction des émissions de gaz à effet de serre et d'améliorer les puits de CO(_2) dans des réservoirs autres que l'atmosphère.
OIF consiste à stimuler la croissance du phytoplancton net en libérant le fer à certaines parties de l'océan de surface. La communauté océanographique internationale a étudié l'OIF, dont 12 grands programmes de terrain à petite échelle. Bien que ces expériences ont grandement amélioré notre compréhension du rôle du fer dans la régulation des écosystèmes océaniques et la dynamique du carbone, elles ne sont pas conçues pour caractériser l'OIF en tant que stratégie d'atténuation du carbone. Les impacts biogeochimiques et écologiques restent encore incompris.

Pour tenter de réduire les incertitudes de conclusion, il est nécessaire de :

• Etudes de terrain sur de plus grandes échelles de temps spatiales et plus longtemps ;
• Examen de l'OIF dans les régions de haute et de faible valeur nutritive de comprendre un large éventail de processus qui sont touchés par le fer, tels que la fixation de l'azote et de stoechiométrie élémentaire ;
• Des mesures détaillées dans l'océan de sous-surface pour vérifier le sort de carbone fixé ;
• Évaluation globale des impacts écologiques à partir de bactéries et la biogéochimie des poissons, oiseaux de mer et les mammifères marins ;
• Le suivi et l'utilisation de modèles à long terme pour évaluer les effets en aval au-delà de la zone d'étude et la période d'observation ;
• Amélioration des études de modélisation des résultats et des conséquences de l'OIF ;
• L'analyse des coûts, des avantages et des impacts de l'OIF par rapport à d'autres régimes d'atténuation du climat ;

Pas de résultat, cet article fait juste l'état des lieux de la situation.

Pourrait aller davantage plus loin dans l'exploitation des nouvelles methodes à employer
Pourrait proposer davantage de solution quant aux problèmes qu'il soulève

il permet de cibler comment les recherches sur la controverse doivent avancer. Il met un cadre et expose des limites aux expériences.