L'étude montre que le comportement des individus et la biologie d'une espèce ont des effets sur la croissance de la population. Ces effets peuvent s'additionner au taux de mortalité dû à la chasse et engendrer des effets négatifs supplémentaires sur la population. Par conséquent, ces facteurs doivent être pris en compte lors de l'établissement des quotas de récolte et dans la gestion de la chasse.
En somme, des facteurs additifs directs et indirects doivent donc être pris en compte afin de préserver la biodiversité.